Les lettres doivent être adjacentes et les mots les plus longs sont les meilleurs. Quelle belle fumisterie……….Gaza n’est pas simplement l’enfer qu’on veut bien imposer, mais bien une ville of9 il fait, semble-t-il bon vivre, alors que veut-on exactement ??? Pour Ilan Pappé, l’objectif de chasser les Britanniques de la région aurait d’ailleurs été nettement dominant[11]. It may not have been reviewed by professional editors (see full disclaimer), Toutes les traductions de Plan de partage de la Palestine, dictionnaire et traducteur pour sites web. Ils se basent sur le Livre blanc de 1939 qui avait limité l’immigration juive et leur promettait l’indépendance dans un délai de dix ans. Le dictionnaire des synonymes est surtout dérivé du dictionnaire intégral (TID). L’ONU relance le vote quatre jours plus tard, le 29 novembre 1947 ; l’Assemblée générale de l’ONU adopte, par 33 voix pour, 13 contre et 10 abstentions[5],[7], le plan de partage de la Palestine[8] en deux États, l’un arabe, et l’autre juif — Jérusalem ayant un statut particulier sous l’égide de l’ONU. L’État juif proposé regrouperait une majorité de Juifs (558 000 pour 405 000 Arabes). Les Britanniques ont tout essayé pour concilier les points de vue et sont divisés sur la question. L’État arabe devait recevoir l’ouest de la Galilée, avec la ville d’Acre, les monts de Judée et Samarie (correspondants une zone plus large que ce qu’on appelle aujourd’hui Cisjordanie), et le sud de la côte, s’étendant du nord de Majdal (maintenant Ashkelon), et comprenant l’actuelle Bande de Gaza, avec une partie du désert le long de la frontière égyptienne. À la majorité, l’UNSCOP adopta la première solution, bien que plusieurs membres se fussent prononcés en faveur de la seconde option ; l’Australie quant à elle, ne put se décider entre ces deux propositions. Cinq rubriques pour traiter de tous les sujets. Côté arabe, la Palestine ne s’étend désormais plus que sur 11 500 kilomètres carrés (avec 10 000 Juifs et 804 000 Arabes). | Privacy policy Avec ce partage, l’objectif de création d’un « État juif » du projet sioniste est atteint mais pas celui de l’indépendance de la Palestine du nationalisme palestinien et il conduit à la Guerre de Palestine de 1948 dès le lendemain du vote. La population juive représentée par le Yishouv (mot hébreu désignant la population juive de Palestine avant 1948) possède 7 % de la propriété foncière. Qui rentre en vigueur en 1946. Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, des milliers de Juifs prennent le chemin de l’URSS, premier libérateur des camps d’extermination, en direction du Birobijian, l’oblast autonome juif de Sibérie, créé par Staline en 1934. Evénement historique . S’en suit, le jour même de ce départ, la première guerre israélo-arabe, ainsi que la Nakba (« catastrophe »), l’exode de la population arabe palestinienne. nécessaire]. À son terme, les nationalistes palestiniens obtiennent toutefois des Britanniques une diminution draconienne de l’immigration juive traduite par le Livre blanc de 1939. Elle avance que les Arabes de Palestine n’ont pas à subir une injustice qui servirait à réparer l’injustice commise envers les Juifs d’Europe mais que les Juifs pourraient très bien se voir offrir une partie de l’Allemagne pour y fonder leur État. Les États-Unis, mécontents du résultat, vont faire pression sur les « petites » nations récalcitrantes au projet en leur octroyant des prêts (Haïti), ou encore avec des menaces de faire partir les industries (Liberia) afin de les obliger à accepter la résolution. Copyright © 2000-2016 sensagent : Encyclopédie en ligne, Thesaurus, dictionnaire de définitions et plus. En Palestine, les groupes de la droite sioniste mènent à leur tour une campagne de violence contre l’« occupation » britannique ponctuée de nombreux attentats. Tandis que l’Agence juive en accepte les conclusions comme base de discussion, l’Irgoun et le Haut Comité arabe les rejettent. Le blogueur __Z__ est le premier caricaturiste tunisien à avoir osé dessiner... DiversGens.com est un site d’information généraliste, traitant de l’actualité associative, l’actualité syndicale et du monde du travail, l’actualité internationale, ainsi que des sujets de société plus généraux. De son côté, si le mouvement sioniste se réjouit du soutien inattendu des Soviétiques (historiquement très antisionistes), David Ben Gourion n’envisage nullement une alliance préférentielle avec Moscou. Bien que conscients des menaces qui pèsent sur sa mise en place, l’établissement d’un État juif soutenu par la légitimité d’une reconnaissance internationale est une avancée majeure dans le projet sioniste. DiversGens.com propose également un panorama de portraits et interviews de personnes issues d’horizons divers et variés. En France, le soutien de ce plan par l’Alliance israélite universelle, antisioniste avant-guerre, fut acquis de justesse, et non sans tergiversations[4]. | Informations 33 voix (dont les États-Unis et l’URSS) se prononcent pour, 13 voix s’y opposent, et 10 s’abstiennent (dont la Grande-Bretagne). 1. Le mandat pour la Palestine prendra fin aussitôt que possible, et en tout cas le 1er août 1948 au plus tard. Le plan de partage de la Palestine (29 novembre 1947) Le 29 novembre 1947, l'Assemblée générale de l'ONU vote le plan de partage de la Palestine en deux États, juif et arabe, et Jérusalem est transformée en territoire international. Après étude du dossier, l’UNSCOP dégage deux options. Bien que minoritaires, les Juifs obtiennent plus de la moitié des terres. 10 000 Juifs seraient alors dans l’État arabe. Le plan de partage de l’ONU du 29 novembre 1947 divise la Palestine entre un Etat juif et un Etat arabe. Celle-ci s’achève le 15 mai 1948, jour où le mandat britannique prend fin et où les troupes quittent le territoire. ». ?Montrer du doigt l’e9tat d’Israebl qui tuent ces pauvres gens, ce sont aux Palestiniens de se prendre en charge et exiger de son e9tat de vivre de9cemment comme tout le monde ou comme le montre ces belles photos. La Palestine mandataire désigne le statut politique établi par la SdN en Palestine et en Transjordanie à partir de 1920. Celui-ci serait par conséquent peuplé à 99 % d’Arabes, avec une communauté de 804 000 habitants. Le 30 novembre 1947, au lendemain de l’adoption du plan de partage par l’ONU, une guerre civile éclate entre communautés arabe et juive. Mais le choc de la Shoah poussera les volontés sioniste au premier plan après la victoire. 45 Ce plan de partage ne tient compte que des eaux de surface, en considérant la disponibilité et les consommations des années cinquante. L’objectif est donc double : affaiblir les Britanniques dans la région, et essayer de faire basculer Israël dans le camp soviétique, en profitant de la domination de la gauche sur le mouvement sioniste, et de son alliance avec un parti « farouchement stalinien[10] », le Mapam, second parti du pays après les élections de 1949[10]. This entry is from Wikipedia, the leading user-contributed encyclopedia. POURQUOI L’ONU DEPUIS 1947 NE FAIT PAS RESPECTER LE PARTAGE DE LA PALESTINE IL Y AURAIS MOINS DE TERRORISME ET DE GUERRE, Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. LA fenêtre fournit des explications et des traductions contextuelles, c'est-à-dire sans obliger votre visiteur à quitter votre page web ! Tous droits réservés. En savoir plus, Zones juives en 1947. Première partie Constitution et gouvernement futurs de la Palestine. Décès de Saïda Menebhi, la « martyre du peuple marocain ». ○ Boggle. Le plan est cependant rejeté par les pays de la Ligue Arabe. Pourtant laïc, c’est par l’argument religieux que le Congrès sioniste mobilise les populations. The history of Palestine is closely linked with the history of international law. Le problème a pour base essentielle le droit des populations juives et arabes de Palestine à décider de leur sort. 1947 : Plan de partage de la Palestine en deux Etats Le 29 novembre 1947, dans le contexte du génocide des Juifs et après des pressions sionistes et américaines sur le vote de certains Etats (Libéria, Haïti, Philippines...), l’Assemblée générale de l’ONU adopte, de justesse, le plan de partage de … Ils estiment également cette décision illégale car allant à l’encontre du Livre blanc britannique de 1939. Rapidement, la situation devient inextricable pour l’autorité britannique mandataire. 11 décembre 1977 : Le plan de partage de la Palestine de 1947 de l’ONU Série Fiche-info N.173, créée: Juillet 2013, Canadiens pour la Justice et la Paix au Moyen-Orient Voir la fiche-info en version PDF Ces derniers faisant valoir que le plan violait les dispositions de la Charte des Nations unies, qui reconnaît à chaque peuple le droit de décider de son propre destin. 11 décembre 1977 : décès de Saïda Menebhi, « la martyre du peuple marocain », 11 décembre 1977: Saïda Menebhi décède en martyre marocaine, À Antony, expulsions d’étudiants et démolition de la plus grande cité universitaire de France, Interview de __Z__ : l’anonyme le plus célèbre de Tunisie. À l’encontre de la population arabe, mais aussi contre les Britanniques. La seconde consiste en la création d’un seul État fédéral, contenant à la fois un État juif et un État arabe. Discours du représentant soviétique Semyon Tsarapkin : « Les arguments historiques et juridiques ne peuvent pas et ne doivent pas être décisifs dans le règlement de la question palestinienne. Se sont abstenus : Argentine, Chili, Chine, Colombie, Salvador, Éthiopie, Honduras, Mexique, Royaume-Uni, Yougoslavie. ["] L’ONU ne saurait contraindre 80 millions d’Arabes et 400 millions de musulmans à accepter un projet qu’ils rejettent. Tiraillée au milieu du conflit entre Juifs et Palestiniens, la puissance mandataire britannique décide de s’en remettre à l’Organisation des Nations unies (ONU), en février 1947, reconnaissant par là son incapacité à gérer le conflit entre les deux populations. Ont voté pour : États-Unis d’Amérique, Australie, Belgique, Bolivie, Brésil, République socialiste soviétique de Biélorussie, Canada, Costa Rica, Danemark, République dominicaine, Équateur, France, Guatemala, Haïti, Islande, Libéria, Luxembourg, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Nicaragua, Norvège, Panama, Paraguay, Pérou, Philippines, République populaire de Pologne, Suède, Tchécoslovaquie, République socialiste soviétique d’Ukraine, Union Sud-Africaine, URSS, Uruguay et Venezuela. Le pays, placé sous mandat britannique depuis une vingtaine d’années, connait un immigration massive de Juifs, tout juste rescapés de l’holocauste nazie. Mais la résolution doit obtenir deux tiers des voix pour être acceptée, ce qui n’est pas le cas. Pour les mouvements sionistes, ce vote de novembre 1947, rejeté par les dirigeants arabes, fut une énorme victoire car ce partage était la reconnaissance de la fondation du nouvel État d’Israël qu’ils appelaient de tous leurs vœux. Le retour d’Hajj Amin al-Husseini à la tête du Haut Comité arabe a radicalisé leur position et les modérés sont mis en minorité. Par contre, elle annonce qu’elle s’opposera à tout partage par la force et que celui-ci conduirait à un « bain de sang ». Indexer des images et définir des méta-données. Ikhwan al-Mouslimoun (la confrérie des Frères Musulmans) ira jusqu’à prédire : « l’étincelle qui mettra le feu à la Troisième Guerre mondiale jaillira de Palestine ». Notamment depuis la Grande Révolte arabe de 1936-1938, menée par les Palestiniens contre l’autorité mandataire, ces derniers réclamant la création d’un État arabe indépendant. Une majorité de La résolution 181 est adoptée par 33 voix pour (dont les … Chacune des parties est étroitement imbriquée dans les autres, ce qui, selon les concepteurs du plan, devrait forcer les intéressés à coopérer. Après la Grande Guerre, la Grande-Bretagne se voit confier par la Société des Nations l’administration de la Palestine, sous forme de mandat. Les souffrances subies par les Juifs au cours de la dernière guerre doivent constituer un élément important dans la décision de l’Assemblée. Eurent pour mission de veiller à la transition sur le terrain : Bolivie, Danemark, Panama, Philippines et Tchécoslovaquie. La conséquence immédiate en fut le déclenchement d’une guerre civile en Palestine suivie de la guerre israélo-arabe de 1948. Le plan de partage de l’ONU de 1947 n’a jamais été mis en application. Plusieurs plans de partition de la Palestine ont été proposés pour apporter une réponse au conflit entre les mouvements nationalistes arabes et juifs palestiniens. Astuce: parcourir les champs sémantiques du dictionnaire analogique en plusieurs langues pour mieux apprendre avec sensagent. Participer au concours et enregistrer votre nom dans la liste de meilleurs joueurs ! La très grande majorité des Arabes palestiniens et des États arabes furent opposés a ce plan qu’ils trouvèrent injuste car allant à l’encontre de la volonté des populations locales. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de ces cookies. Depuis 1920, ils réclamaient la fin de l’immigration juive et l’indépendance de la Palestine, au mieux en tant qu’État multi-confessionnel dans laquelle les populations juives jouiraient d’une autonomie plus ou moins importante et dont les droits seraient protégés. Le plan de partage est aussitôt rejeté par le Haut Comité arabe, ainsi que par la Ligue arabe. La ville de Jaffa à population majoritairement arabe, au sud de Tel Aviv, devait initialement faire partie de l’État juif. 5 janvier 2008 :
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, Le Devoir de mémoire de janvier :
On tente également de corrompre des délégués pour obtenir leur vote[5]. Durant la Première Guerre mondiale, la Palestine est le territoire de combats entre les forces britanniques et ottomanes. » Le monde arabe appelle à la guerre, comme en témoigne le quotidien nationaliste égyptien Balagh : « L’heure de la lutte a sonné. Il est aussi possible de jouer avec la grille de 25 cases. ○ Anagrammes Son secrétaire, Abd al-Rahman Azzam Pacha, affirme : « Le temps n’est plus aux discours et aux paroles. Le service web Alexandria est motorisé par Memodata pour faciliter les recherches sur Ebay. Elle ne réclame pas son transfert du futur « État juif » (comme proposé dans le Plan Peel, et défendu en coulisse par Chaim Weizmann) mais est consciente du problème qu’une trop forte minorité arabe ferait peser sur le caractère juif de l’État. Ils sont suivis en 1920 par la Société des Nations qui donne aux Britanniques mandat en Palestine pour y favoriser l’immigration juive et la mise en place d’un « foyer national juif ». Ils manifestent tout de même leur insatisfaction quant aux limites territoriales imposées à l’État juif qui leur est proposé. Les représentants arabes palestiniens refusent de prendre part une fois de plus à des débats sur la question. De plus, les attaques et les attentats sionistes se multiplient. Ajouter de nouveaux contenus Add à votre site depuis Sensagent par XML. La résolution 181, votée par l’ONU, donne naissance à Israël, un État juif de 14 000 kilomètres carrés (comptant 558 000 Juifs et 405 000 Arabes). La révolte a fait près de 5 000 morts côté arabe et 500 côté juif. En 1917, les Britanniques, par l’intermédiaire de la Déclaration Balfour annoncent leur soutien officiel au projet sioniste. Alors que des dizaines de Palestiniens subissent actuellement un nettoyage ethnique dans le quartier de Sheikh Jarrah à Jérusalem Est, les forces d’occupation israéliennes s’attaquent aux civils (manifestants et fidèles) qui protestent contre cette situation. Bilan du partage … De fait, dès l’automne 1950, les Soviétiques s’abstiennent dans une série de débats sur des incidents de frontières. Lire le « Devoir de mémoire » de décembre => 46 Le plan Main-Klapp ne prend pas en considération les eaux du Litani qu’il n’intègre pas dans le système hydraulique du Jourdain. Les Arabes de Palestine et les gouvernements de tous les États arabes, refusent d’accepter les recommandations de la résolution 181, et font savoir qu’ils s’opposeront par la force à l’application de ces recommandations. En avril 1920, des émeutes font une dizaine de morts et près de 250 blessés à Jérusalem à la veille de la Conférence de San Remo qui doit avaliser le mandat. Révolte du bassin minier de Gafsa (Tunisie). La résolution 181 prévoyant le partage de la Palestine avec la création d’un Etat juif et d’un Etat arabe est adoptée le 29 novembre 1947 par l’Assemblée générale de l’ONU. Au moment du plan de partage, la population totale de Palestine est composée pour deux tiers d’Arabes et un tiers de Juifs. 2 % des Juifs, soit 10 000 personnes, ne se retrouveraient ni dans l’État juif ni dans la zone internationale de Jérusalem. 2. Ils veulent d’une solution qui tiennent à la fois compte des promesses faites aux parties (Déclaration Balfour ; Accord avec les Hachémites ; Livres blancs) et de leurs intérêts stratégiques dans la région (la montée nationaliste arabe accroit l’hostilité à leur égard dans une région qui est la première source d’approvisionnement en pétrole et qui se situe en première ligne face aux Soviétiques à l’aube de la Guerre froide ; ils ne peuvent se permettre d’augmenter les tensions avec ces derniers). Les jeux de lettre français sont : Dès la fin du XIXe siècle, un courant important au sein des communautés juives mondiales, le sionisme revendique l’auto-détermination et la fondation d’un État juif en Palestine. Si officiellement il rejette le plan de Partage, le roi Abdallah de Transjordanie le soutient et a œuvré en coulisse à sa mise en place. L’Agence juive promet de respecter les droits de la minorité arabe. La position sioniste de l’Agence juive est qu’il faut établir un « État juif » sur l’ensemble de la Palestine et ouvrir celui-ci librement à l’émigration, en particulier pour les personnes déplacées juives de la Seconde Guerre mondiale. 29 novembre 1947 : Vote à l’ONU du plan de partage de la Palestine, Lire le « Devoir de mémoire » de décembre, Commission spéciale des Nations unies sur la Palestine, Décès de Saïda Menebhi, la « martyre du peuple marocain », 1948 : la Palestine des archives aux cartes, Brèves histoire de l’Israël, la Palestine, et le conflit, 5 janvier 2008 : révolte du bassin minier de Gafsa en Tunisie. Lundi 10 mai, des manifestations de masse ont eu lieu dans toute la Palestine de 48 en soutien au peuple palestinien qui résiste à Sheikh Jarrah, à Al-Aqsa et à Gaza. 29 novembre 1947: l'ONU adopte un plan de partage de la Palestine en deux Etats indépendants, un juif et un arabe.Jérusalem est placé sous régime international. Le 29 novembre 1947, l'Assemblée générale des Nations unies adopte la rés… La plupart des définitions du français sont proposées par SenseGates et comportent un approfondissement avec Littré et plusieurs auteurs techniques spécialisés. Recommande au Royaume-Uni, en tant que Puissance mandataire pour la Palestine, ainsi qu'à tous les autres États membres de l'Organisation des Nations unies, l'adoption et la mise à exécution, du plan de partage avec union économique exposé ci-dessous : Lire aussi 30 novembre 1947 - l'Onu vote en faveur d'un plan de partage de la Palestine L’ONU désigne le 13 mai 1947 les membres d’un comité, l’UNSCOP (United Nations Special Committee on Palestine), composé de représentants de 11 États (Australie, Canada, Guatemala, Inde, Iran, Pays-Bas, Pérou, Suède, Tchécoslovaquie, Uruguay, Yougoslavie). A. Fin du mandat, partage et indépendance. Des manifestations sont régulièrement organisées dans toute la Palestine dès 1919. Il a notamment négocié avec les autorités sionistes de ne pas s’opposer à la mise en place de l’État juif et de ne pas intervenir militairement contre eux si en contre-partie ces derniers le soutiennent dans son plan d’annexion de l’État arabe, dans son combat contre leur ennemi commun, Hajj Amin al-Husseini et dans ses ambitions de former une Grande Syrie[1]. Ce plan prévoit la partition de la Palestine en trois entités, avec la création d’un État juif et d’un État arabe, Jérusalem et sa proche banlieue étant placées sous contrôle international en tant que corpus separatum. L'important : DiversGens.com délivre de l'information, sans prétention, et dans la limite des forces disponibles. La zone internationale centrée sur Jérusalem, compterait 100 000 Juifs pour 105 000 Arabes. En février 1947, le gouvernement britannique de Clement Attlee, ne parvenant plus … C’est une question de vie ou de mort. Ni les autorités mandataires, ni les commissions d’enquête envoyées par Londres et les États-unis, ni les conférences et les négociations bilatérales ne parviennent à trouver une solution qui satisfasse les parties. Dans un souci de neutralité, aucune des grandes puissances de l’époque ne fut représentée. "La Nakba est le nom qu’ont donné les Palestiniens au fait d’avoir été expulsés en très grand nombre, 800 000 environ, de leurs foyers, durant la guerre qui commence avec le plan de partage, le 29 novembre 1947, et qui finit à l’été 1949 avec les armistices israélo-arabes", définit Dominique Vidal, journaliste et historien, spécialiste du conflit israélo-palestinien. Ils estiment que les Arabes de Palestine n’ont pas à payer pour un crime commis à l’encontre des Juifs par les nations européennes. Le résultat est le suivant : 25 voix pour le partage ; 13 voix contre ; 19 abstentions. Un coup d’État au Siam empêcha la délégation de ce pays de prendre part au vote. 31 % des Arabes, soit 405 000 personnes, ne seraient ni dans l’État arabe ni à Jérusalem. La population arabe du pays ainsi que celles des pays voisins s’opposent néanmoins au projet. Selon le Plan de Partage, l’État juif comprenait la plaine côtière, qui s’étend de Haïfa à Rehovot, l’est de la Galilée et le désert du Negev, incluant l’avant-poste de Umm Rashrash au sud (maintenant appelé Eilat). Mais ils ne peuvent plus assumer les coûts financiers et humains de la gestion de la situation (100 000 soldats britanniques sont stationnés en Palestine, soit 10 % de leurs effectifs totaux et les attentats de l’Irgoun et du Lehi font de nombreuses victimes parmi leurs hommes et ils ne peuvent, pour des raisons morales, les réprimer comme le demandent leurs militaires sur le terrain de la même manière qu’ils le firent envers les Arabes lors de leur révolte dix ans plus tôt). Ont voté contre : Afghanistan, Arabie saoudite, Cuba, Égypte, Grèce, Inde, Iran, Irak, Liban, Pakistan, Syrie, Turquie, et Yémen. Ayant constitué une Commission spéciale, et lui ayant donné mandat d’enquêter sur toutes les questions relatives au problème de la Palestine, et de … Rapidement, « Israël est l’objet d’une violente campagne de presse », et les relations diplomatiques sont rompues, avant de reprendre, mais très froidement, après la mort de Staline (1953)[13]. » Blog ou site, chacun choisira le terme qu'il lui convient. Changer la langue cible pour obtenir des traductions. Une fenêtre (pop-into) d'information (contenu principal de Sensagent) est invoquée un double-clic sur n'importe quel mot de votre page web. Au final, ce plan de partage voté par L’ONU accorde aux sionistes 50% de territoires supplémentaires que ceux prévus initialement par le plan Peel de 1937. Ils craignent également que les sionistes chassent les populations arabes car le projet ne peut s’accommoder d’une minorité arabe trop importante dans un État juif. Le plan de partage était de trop. Les nationalistes palestiniens se réorganisent mais restent très en retard par rapport aux sionistes. Interview de Keny Arkana : "Je me bats pas pour des petites réformes à la con", À Antony, expulsions d'étudiants et démolition de la plus grande cité universitaire de France. Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, des milliers de Juifs prennent le chemin de l’URSS, premier libérateur des camps d’extermination, en direction du Birobijian, l’oblast autonome juifde Sibérie, créé par Staline en 1934. Le tracé de l’État juif épouse en grande partie les contours de l’immigration juive. Le plan de partage de la Palestine1 élaboré par l’UNSCOP est approuvé par l’Assemblée générale de l’ONU, à New York par le vote de la résolution 181. Ils ne peuvent pas négliger non plus les pressions du gouvernement américain qui appelle à l’ouverture de la Palestine à l’immigration juive (celle-ci bénéficie de la sympathie de l’opinion occidentale, à la suite de la Shoah) et qui soutient la relance de l’économie britannique endettée par la guerre. Le 29 novembre 1947, le plan de partage de la Palestine [1] élaboré par le Comité spécial des Nations unies sur la Palestine (UNSCOP) créé par l’ONU, est approuvé par cette dernière à New York, par le vote de la résolution 181. Des pressions sont exercées sur le Libéria et la France pour qu’ils votent en faveur du plan. La diplomatie, en particulier américaine, intervient. Elle est prête à accepter un partage du pays (comme proposé dans le Plan Peel de 1937) mais refuse le projet de cantonisation qui ferait du pays une fédération (comme proposé par le Plan Morrisson-Grady). Parmi ceux-ci, le chef du Haut Comité arabe, Hajj Amin al-Husseini se réfugie en Allemagne nazie, où il cherche un soutien à sa cause. Seul l’Occident lui-même, en humiliant Israël et en l’abandonnant aux Nations unies et ailleurs, pourrait s’aliéner notre peuple, un contenu abusif (raciste, pornographique, diffamatoire), Protagonistes de la Guerre de Palestine de 1948, République socialiste soviétique de Biélorussie, République socialiste soviétique d’Ukraine, Le partage de la Palestine de 1947 à 1949, http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Plan_de_partage_de_la_Palestine&oldid=79501265, Résolution de l'Assemblée générale de l'ONU, anagramme, mot-croisé, joker, Lettris et Boggle, est motorisé par Memodata pour faciliter les, enfin, une zone sous régime international particulier comprenant les Lieux saints, Jérusalem et Bethléem avec. Tout au long de son mandat et selon les aléas de sa politique, le gouvernement britannique contribue soit à encourager, soit à ralentir cette immigration juive, qui débarque désormais par bateaux entiers en terre palestinienne.
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